Modes de la connexion au monde. Danser le rapport au monde d’une montagne, d’un chien, du vent.
- Ces expériences ont en commun d’avoir lieu entre terre et ciel dans le rapport de verticalité de la gravitation.
- La montagne se manifeste d’abord comme corps géométrique dont la surface est hérissée d’arbres, eux-mêmes hérissés de branches, elles-mêmes hérissées de feuilles et d’épines : il y a d’abord la masse volumique puis la fragrance surfacique.
- La montagne se manifeste ensuite comme un organe respiratoire (cycle de l’oxygène et du dioxyde de carbone) et percolateur (cycle de l’eau), ce qui la révèle vivante.
Le rapport au présent. Chercher à abaisser son tonus cérébral, c’est-à-dire celui de notre vie intérieure dans la mesure où il nous rend absent aux autres.
- C’est d’abord une expérience à soi dans sa structure squelettique et musculaire, puis de la présence à la gravité : par exemple la présence de la ceinture scapulaire et de la mémoire de ses péripéties.
La présence dansée (exercice non fait). Former des duos pour danser la présence d’un hêtre à un autre hêtre ou d’une plante à une coccinelle.
Improvisation libre (exercice non fait) pour constater l’effet de ces exercices.